Après le concert contemporain, retour aux grands classiques pour l'Orchestre du Capitole :
- Ouverture du Freischütz de Weber
- Concerto pour violon de Betthoven. Une de mes oeuvres préférées, interprétée ce soir par l'un de mes violonistes préférés : Vadim Repin. Quelle présence sur scène ! On voit débarquer une espèce de colosse tout droit sorti de sa Sibérie natale, tenant dans ses grosses mains un petit Guarneri. Il se campe sur ses deux jambes, impassible, et écoute l'orchestre entamer l'ouverture. Et là la magie se produit. de ce roc impassible, presque immobile, s'élève un son d'une pureté absolue. Même la redoutable cadence Kreisler, à la fin du premier mouvement, semble d'une facilité déconcertante. A la fin, forcément, on en redemande, et le virtuose nous gratifie d'un bis d'une technicité complètement hallucinante, où l'on n'a même pas l'impression de voir bouger ses doigts. GRANDIOSE !!!
- 7ème Symphonie de Beethoven pour clore ce concert. Les deux premiers mouvements restent de purs bijoux de la musique classique - surtout l'Allegretto, l'un des grands chef d'oeuvre de Beethoven. On est tout de même peut être là un peu à la limite du répertoire de Tugan Sokhiev, le jeune chef d'orchestre de l'ONC. Ca manque un peu de danse, c'est un peu troip mécanique, parfois à la limité du sprint dans le troisième mouvement où les musiciens doivent tout donner pour tenir le rythme.
vendredi 1 février 2008
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1 commentaire:
Salut Rimaille!
Maintenant t'es sur Internet!
J'espere que tout se passe bien pour toi!
J'aimerai bien avoir des nouvelles de toi. T'as mon adresse? Sinon, dis-moi comme je peux te le donner sans le mettre ici en publique!
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